Premier degré - nouvel album disponible ✨
Johan Papaconstantino a débuté en mixant des disques de funk et d’électro sur les platines de son père, tout en écoutant la musique grecque que son paternel aime tant. Du côté de sa mère, d’origine corse, c’était plutôt le RnB et la chanson française. « Toutes les musiques m’ont marquée. Je pense être très très ouvert... », insiste le Marseillais, né il y a une petite trentaine d’années à Aix-en-Provence. Après ses premiers DJ sets, à l’adolescence, le voilà embarqué, « avec une bande de potes » dans un groupe appelé Tendre émeute. Il y joue de la guitare, de la batterie et du bouzouki. Son apprentissage de la scène.
Johan met alors les bouchées doubles : « Aujourd’hui, la musique est au centre de ma vie. Je travaille tous les jours, le bouzouki, la voix, la fonction d’ingénieur du son aussi parce c’est moi qui produis, je fais tout de A à Z. ». Et il réussit... Autour du bouzouki et de son chant, plus sensuel qu’indolent, claviers, clarinette, flûte, machines, guitare électrique, tambourin, autotune viennent se mêler. Il décide d’appeler son premier album « Premier degré », comme un jeu de miroirs. Il faut l’entendre pour en être persuadé, il y a quelque chose de franchement irrésistible dans les chansons de Johan Papaconstantino, quelque chose qui vous donne envie de les écouter en boucle, sourire aux lèvres, le corps tendu par les rythmes récurrents de ces chansons qui vous amènent directement sur les pistes de danse.